Résolution Emotionnelle à Boulogne-Billancourt

La séance de la méthode (RE) dite de : Résolution Emotionnelle avec Franck Andersen

Résolution-Émotionnelle : ce qu’elle est.. ce qu’elle n’est pas !

C’est une approche neuro-scientifique des difficultés émotionnelles et comportementales. 

Comme décrite précédemment, la Résolution-Émotionnelle s’implémente sur une fonction naturelle propre à chacune et chacun.

Aujourd’hui, c’est une méthode de première ligne dans le traitement des troubles psychologiques variés, une fois admis que les émotions sont de véritables leviers de résolution et pas seulement l’expression d’un désordre symptomatique négligeable.

La Résolution-Émotionnelle c’est :

  • Une thérapie brève : à l’instar d’autres méthodes recherchées, en complément d’une psychothérapie, la RE parvient à cibler ce qu’on pourrait nommer, des noeuds émotionnels. Ces derniers peuvent nomément apparaitre lors d'un récit sur le divan de votre psy. Ils sont vécus comme des plafonds de verre infranchissables. Alors la RE peut jouer son rôle.
     
  • Une Technique Cognitivo-Comportementale (TCC) : parce que l’accent est mis sur les causes profondes. La désactivation d’empreintes archaïques, en atteste. L’effet est durable et le changement identifiable. Enfin, cet avantages n’est pas des moindres, le protocole RE est objectif et reproductible.
     
  • Une thérapie par exposition : dans le champs des méthodes qui peuvent nécessiter l’exposition relative à l’objet phobogène, la RE s’applique dignement. Sans mettre la personne en danger. Au contraire, elle est en parfaite sécurité pour engendrer la résilience souhaitée.
     
  • Une méthode scientifique : l'observation de la résilience, stimulée par le protocole-RE, prouve sa nature reproductible. Plus loin, le croisement d’informations neurophysiologiques qui valident le processus, classe la RE parmi les meilleures approches scientifiques, rigoureuses et rationnelles.
     
  • Une technique de secourisme mental : celle-ci s’impose au fur et à mesure qu’on en découvre les indications dans le traitement de la détresse psychologique. Elle s’applique aussi à « chaud », c’est-à-dire, en temps réel sur le théâtre des opérations. Attentats ou toute situation de crise.
     

.. plus loin, c'est aussi :

  • Une mise en évidence française : Rapportée et confirmée par des échanges écrits, elle est imputable aux observations faites notamment par Didier Godeau, sans aucune revendication de paternité de sa part. Ensuite la Résolution-Émotionnelle qui a porté déjà plusieurs noms (et/ou) acronymes, a été développée de façon collégiale par petites formations.
     
  • Une solution pour les entreprises : qui trouvent là, un moyen de prévenir de façon collective et de traiter de façon individuelle, le risque psychosocial inhérent au stress professionnel. En complément d’autres approches utilisées pour lever des conflits, burn-out, absentéisme, mais pas seulement, la résolution émotionnelle, est une voie sûre pour l’harmonisation à la fois graduelle et qualitative, des relations.
     
  • Une réponse : aux troubles comportementaux, déclarés ou non, autant pour les personnes, les familles que les organisations.
     
  • Une alternative : aux solutions médicamenteuses ou lors d'un accompagnement de substitution pharmacologique, quand celle-ci devient importante, demandée et programmée, après accord médical et selon un suivi préconisé.
     
  • Une formation : facile, destinée à rendre autonome les personnes désireuses d’utiliser les bienfaits de la Résolution-Émotionnelle au quotidien, directement sur elles-mêmes avec le développement concomittent d’une véritable présence d’esprit.
     
  • Un enjeu sociétal : pour cadrer avec les nouveaux besoins d’apprentissages comportementaux identifiés, mais aussi au nom d'une prophylaxie générale, tendant à faire redescendre la charge mentale. Ces objectifs étant institutionnellement reconnus nécéssaires, quant aux récents textes votés, sur la prise en chage de la santé mentale.

La Résolution-Émotionnelle, ce qu'elle n'est pas

Puisque, ce qui va sans dire, va mieux en le disant... Avant de poursuivre dans le traitement de nos peurs, écartons-en quelques unes tout de suite et avec elles, probablement, d'autres doutes naturels, à propos de la Résolution Émotionnelle.

  • Pas une thérapie manuelle : bien que le corps soit directement impliqué dans l’effet de résilience recherché, par le truchement d’un ressenti sensoriel, celui-ci est déclenché sur la base d’une conversation en face-à-face avec le praticien. Malgré le pragmatisme de l’approche, à aucun moment il est, à priori nécessaire de toucher la personne.
     
  • Pas une transe : il convient de rappeler ici, que la Résolution-Émotionnelle ne fait appel à aucune transe induite par le thérapeute, comme c’est le cas en hypnose. Ni au sens convenu et habituel du terme, à la recherche d’un état modifié de conscience. La personne garde l’entièreté de son libre arbitre tout le temps de la consultation.
     
  • Pas un placébo : si des expériences équines on été menées avec une certaine réussite, on peut confirmer que l’absence de langage verbal des chevaux, valide implicitement l’absence d’effet placébo. Paradoxalement, quand le langage corporel observé chez l’homme, se confirme verbalement par la personne assise en situation, l’absence de placébo est doublement validée. Il se passe bien quelque chose
     
  • Pas l'invention d'une seule personne : la méthode n’est pas confisquée par telle ou tel. Les observations consciencieusement relatées, au cours de son élaboration, ne permettent pas réellement d’identifier un « inventeur » Toute revendication de paternité est relativement écartée à ce jour. La résolution émotionnelle est l’affaire de nombreuses personnes. Tout découvreur auto-proclamé est une présentation insincère de l'histoire de la méthode à des fins commerciales.
     
  • Pas une religion : avec un peu de candeur, on ne peut nier le miracle qui s’opère. Mais ne dit-on pas que l'âme-agit/ la magie? La fulgurance de la résorption spontanée des symptômes, pourrait faire croire, dans la divine beauté de l’instant, à la manifestation de l'esprit sain. A priori, il n’en est rien, car sur un plan plus rationnel, tout ce qui procède dans cette résilience est clinique et de nature neuro-anatomique.
     
  • Pas une tradition : l’empirisme et les observations, depuis des temps ancestraux, n'enferment pas la Résolution-Émotionnelle dans les traditions orientales, telles que la méditation. Laquelle est d'ailleurs devenue laïque, à la faveur de mises en évidences, confirmées  par l’imagerie médicale.
     
  • Pas une philosophie : bien que la Résolution-Émotionnelle soit un peu l'affaire de mentalisation, de questionnement et tentatives apparentes de trouver une explication.
     
  • Pas une croyance : que l'on soit convaincu d’emblée ou convaincu de l’être ensuite, rien de l’ordre de la croyance ou du présupposé ne sont nécessaires pour avoir recours à un protocole de Résolution-Émotionnelle. Ni foi dans la méthode, ni dans la croyance d'un résultat. La Résolution-Émotionnelle est apte à cueillir les plus enthousiastes et les plus septiques.
     
  • Pas un rituel : malgré une approche très protocolisée, la Résolution-Émotionnelle n’est pas comparable à un rituel enfermant. Elle n'emprunte à aucune technique conditionnée. L’objectivité de cette approche élaborée, dont les effets sont reproductibles, obéit à une mise en situation au coup-par-coup. Rituel ici n’est qu’un lointain synonyme du mot protocole.
    NB : En revanche, les personnes touchées par des troubles obsessionnels compulsifs TOC, et qui se condamnent à une ritualisation enfermante, trouveront un soulagement dans la méthode.

     

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